Quand je montais à vélo les cols les plus hauts
Mon cœur chantait son bonheur
Et d'avoir tellement chanté, il est maintenant terrassé
Au point qu'on veux le changer
Je ne veux pas car c'est lui que j'ai eu en naissant
Avec lui que j'ai connu peines et joies de mon vivant
Et c'est lui que j'aurai en mourant.
Jean Batiste Bruyère N° 1290
Par une nuit d'insomnie